L’entre deux-guerres a été l’âge d’or de l’automobilisme. En effet, constructeurs et pilotes ne connaissaient plus la plupart des difficultés d’avant-guerre. Désormais, les constructeurs peuvent se spécialiser dans la production de modèles bon marché en grande série où à la production de modèles de luxe en petite série. A cette époque, les automobilistes commençaient à goûter au plaisir de l’automobile en circulant sur un réseau de route dégagé.
Mais le Krach de Wall Street de 1928 ( Le « Jeudi Noir ») a plongé l’industrie automobile dans une crise. Pour sortir de ce marasme, les constructeurs Européens et Américains cherchent à séduire une clientèle financièrement réticente en lui proposant des modèles légers, toujours plus rapides et économiques, ce qui fut rendu possible par la progression des voitures dans bien des domaines tels que l’amélioration des moteurs et la synchronisation des boîtes de vitesse. Les carrosseries qui habillaient ces mécaniques de plus en plus perfectionnées abandonnèrent les angles saillants et adoptèrent une ligne un peu plus aérodynamique en se calquant sur les avions. Mais même pendant cette période de crise, les constructeurs prestigieux continuèrent à produire des voitures de rêve rivalisant de prestige et de luxure.
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L’après-guerre:
Dès la guerre finie, on constata un essor prodigieux de la production automobile mondiale, elle tripla pendant les trente glorieuses (approximativement de 1945 à 1975) et passa de 10 millions à 30 millions de voitures. La concentration industrielle, les progrès techniques et l’augmentation de la productivité facilitèrent en Europe l’apparition des petites voitures économiques.
En 1946, les 10 000 premières Volkswagen (les Coccinelles) étaient construites en Allemagne. Volkswagen en avait produit 15 millions en 1972. En France, c’est la 4 cv de Renault qui, lancée en 1946 atteignait les 500 000 exemplaires en 1954. En Italie, les petites Fiat, lancées avant la guerre, connurent, après cette dernière, un succès sans précédent. Un peu plus tardivement, ce fut l’Angleterre qui se mit à fabriquer des petites voitures avec la fameuse Mini dont 4.5 millions d’exemplaires ont été vendus à ce jour.
Dès la guerre finie, on constata un essor prodigieux de la production automobile mondiale, elle tripla pendant les trente glorieuses (approximativement de 1945 à 1975) et passa de 10 millions à 30 millions de voitures. La concentration industrielle, les progrès techniques et l’augmentation de la productivité facilitèrent en Europe l’apparition des petites voitures économiques.
En 1946, les 10 000 premières Volkswagen (les Coccinelles) étaient construites en Allemagne. Volkswagen en avait produit 15 millions en 1972. En France, c’est la 4 cv de Renault qui, lancée en 1946 atteignait les 500 000 exemplaires en 1954. En Italie, les petites Fiat, lancées avant la guerre, connurent, après cette dernière, un succès sans précédent. Un peu plus tardivement, ce fut l’Angleterre qui se mit à fabriquer des petites voitures avec la fameuse Mini dont 4.5 millions d’exemplaires ont été vendus à ce jour.
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